-
Pour un déplacement personnel entre 10 et 50 km par jour, le vélo électrique offre le plus bas coût environnemental et financier, généralement sans augmenter le temps de voyage urbain
1. Rouler en côte
Cela peut sembler évident, mais c’est l’avantage principal. Un bon vélo électrique rend très facile le passage des côtes avec une vitesse supérieure à celle que l’on aurait sans assistance. En fournissant un effort modéré, on peut grimper des pentes de 10% à 14%, voire davantage en pédalant plus vigoureusement. Lors de trajets accidentés comme souvent en ville et à la campagne, ceci rend la pratique du vélo accessible au plus grand nombre.
Nos vélos électriques sont dotés d’une poignée d’accélération ce qui permet de démarrer en côte sans problème: sans cela il est parfois très difficile, voire impossible pour certains, de démarrer en côte, surtout si le dérailleur est sur une grande vitesse.
Cette poignée permet aussi d’ajuster précisément sa vitesse et son effort de pédalage, très utile lorsque l’on veut suivre un autre vélo par exemple.
2. Sécurité
Le fait de rouler à 25 km/h au lieu de 10 km/h (voire moins dans une côte), augmente indéniablement la sécurité et le sentiment de sécurité sur route. La réduction du temps de parcours diminue d’autant le nombre de voitures qui dépassent. Une meilleure tenue de route en côte augmente aussi nettement la sécurité.
Le même principe s’applique aux intersections et lors des redémarrages : la bonne accélération du vélo est d’une grande utilité car il devient alors plus facile de s’insérer dans le trafic sans risquer d’être renversé.
3. Pratique sportive
Une étude a révélé que 46% des vélos classiques ne sont utilisés qu’une ou deux fois par semaine, et que 30% d’entre eux sont utilisés une fois par quinzaine ou encore moins. En revanche, une enquête récente sur les propriétaires de vélos électriques révèle qu’un tiers d’entre eux prennent leur vélo au moins une fois par jour et 81% au moins une fois par semaine.
Les chiffres confirment qu’un vélo électrique est typiquement utilisé deux fois plus souvent qu’un vélo sans assistance. C’est parce que la pratique du vélo électrique est beaucoup plus agréable dans une région accidentée, avec des vents forts, ou pour transporter de lourdes charges. Le moteur réduit l’effort physique certes, mais l’utilisation plus régulière fait faire plus d’exercice.
4. Pas de transpiration
La transpiration est acceptable pour une pratique sportive du vélo, mais c’est un handicap sérieux si l’on se rend au travail. Un vélo électrique élimine ce problème. Dès qu’il fait un peu chaud, il est possible de transférer un peu plus de charge au moteur électrique et de réduire son effort. Par temps plus froid ou si l’on ressent le besoin d’exercice, il suffit de réduire ou d’arrêter l’assistance électrique.
5. Écologique
Les vélos électriques consomment évidemment de l’énergie, ce qui n’est pas le cas des vélos conventionnels (à condition de ne pas tenir compte du coût environnemental de la culture et la transformation des aliments). Cependant, la quantité d’énergie utilisée est très faible par rapport à un cyclomoteur, une motocyclette ou une voiture. Outre le combustible, les seuls consommables sont les batteries, et ceux-ci sont normalement recyclés en fin de vie. Quant à l’utilisation d’énergie, les vélos électriques consomment typiquement 100 fois moins d’énergie qu’une voiture (150 W au lieu de 15000 W, certes en allant plus lentement).
6. Durabilité
Beaucoup d’idées fausses circulent concernant la durabilité dans les transports. On peut acheter de l’électricité verte d’un fournisseur ou générer sa propre énergie avec des panneaux solaires, et le vélo électrique ne consommera alors aucun combustible fossile. Un vélo classique ne le fait-il pas déjà? Eh bien non, ce n’est pas le cas, car l’alimentation d’aujourd’hui au moment de la production et distribution des aliments, est tellement énergivore qu’un cycliste typique consomme davantage d’énergie fossile.
7. Déplacements en ville
En pratique la vitesse moyenne obtenue en voiture dans les villes est inférieure à 15 km/h. Une moto peut parfois aller plus vite, mais elle sera toujours soumise aux embouteillages. Un vélo électrique peut maintenir une vitesse moyenne plus élevée qu’un vélo classique mais profiter du même réseau de voies cyclables. Il en résulte un temps de trajet de porte à porte plus rapide que n’importe quel autre mode de transport. Et en éliminant les pentes raides et les vents contraires, les vélos électriques restent le mode de transport le plus cohérent.
8. Valeur de revente élevée. Frais d’entretiens faibles.
Un vélo électrique est plus cher à l’achat mais pourra être revendu à un meilleur prix qu’un vélo classique s’il est bien entretenu.
Les frais d’entretien sont équivalents à ceux d’un vélo classique. Il faut y ajouter le prix de la batterie (250 CHF chez I-Bike.ch) tous les 3 à 4 ans. Nous recommandons l’achat d’une batterie supplémentaire et de l’inter-changer avec celle du vélo chaque semaine de manière à augmenter la durée d’utilisation à au moins 6 ans avant d’acheter une nouvelle batterie.
9. Motorisé, mais sans paperasserie
En choisissant un vélo à assistance (vitesse < 25 km/h), pas besoin de plaque ni d’assurance supplémentaire.
-
Les vélos électriques sont des bicyclettes ordinaires dotées d’un moteur électrique alimenté par batterie. En pédalant sans grand effort, on roule à 25 km/h au lieu de 10 km/h sur le plat. La puissance du moteur peut être activée par un accélérateur sur le guidon (puissance à la demande) ou en réponse au pédalage (« Pedelec » pour « Pedal Electric Cycle »), et cela fournit une poussée immédiate, presque silencieuse. En arrêtant de pédaler (ou en relâchant la poignée d’accélération), on part en roue libre comme avec un vélo ordinaire. En freinant, l’assistance s’arrête aussi instantanément ce qui est très important pour la sécurité.
En Suisse, les vélos à assistance électrique peuvent aussi rouler sans pédaler jusqu’à 20 km/h. Les vélos de type cyclomoteurs peuvent rouler jusqu’à 45 km/h sans pédaler.
-
Les facteurs les plus importants qui influencent l’autonomie (km parcourus) sont les suivants:
- Capacité de la batterie mesurée en Wattheures (Wh)
- Terrain (nombre et inclinaison des côtes)
- Vitesse (l’autonomie à 12 km/h est 8 fois plus grande qu’à 24 km/h)
- Conditions de vent (rouler à 12 km/h contre un vent de 12 km/h est équivalent à rouler à 24 km/h)
- Gonflage correct des pneus (des pneus sous-gonflés ralentissent et augmentent la consommation)
- Poids total
- Efficacité du système moteur/contrôleur/entraînement
Le paramètre le plus important est la capacité de la batterie. Beaucoup de e-bikes viennent avec de petites batteries (<300 Wh) pour limiter le poids mais cela réduit aussi l’autonomie.
Les batteries de I-bike.ch de 360 Wh (36 V, 10 Ah) assurent une autonomie de 3 heures à 20 km/h (60 km) avec une assistance moyenne de 100 W. Les batteries LiFePO4 ont une durée de vie 4 fois plus grande que les batteries Li-Ion classiques.
En raison de la nature des batteries, on peut doubler l’espérance de vie de la batterie en rechargeant la batterie à 50% de décharge au lieu de 75%.
Certains vélos haut-de-gamme sont dotés du freinage régénératif mais cela n’augmente que peu l’autonomie et augmente le poids du vélo. Même sur les voitures électriques on récupère moins de 10% de la charge initiale avec le freinage. C’est pourquoi i-bike.ch ne fournit que des vélos sans freinage régénératif.
-
Il existe actuellement deux catégories de bicyclettes électriques.
Vélo à assistance électrique (« Pedelec » pour « Pedal Electric Cycle ») Le moteur est activé en pédalant au moyen d’un capteur de mouvement ou de couple.
Vélo électrique pur: le moteur est activé en tournant la poignée d’accélération. On peut encore pédaler en même temps et décider aussi combien d’assistance électrique on veut avec la poignée.
Les vélos i-bike.ch combinent les avantages des deux, tout en respectant la règlementation Suisse. Voir FAQ. « À quelle vitesse puis-je rouler et quelles sont les règlements applicables ? »
-
Pour une personne pesant 70-90 kg, il faut environ 150-180 watts pour aller à une vitesse de 24 km/h sur le plat sans assistance. Par conséquent, un moteur de 180 à 250 watts est plus que suffisant d’autant plus que l’on ajoute la puissance musculaire à celle du moteur.
Le moteur et le contrôleur de couple doivent fonctionner en harmonie sur un vélo électrique de bonne qualité. Accélération, couple, autonomie, niveau d’assistance sont les critères de jugement d’un bon vélo électrique.
-
Les batteries de i-bike.ch de 360 Wh (36 V, 10 Ah) assurent une autonomie de 3h à 20 km/h (60 km) avec une assistance moyenne de 100 W. Les batteries LiFePO4 ont une durée de vie 4 fois plus grande que les batteries Li-Ion classiques.
Le moteur de 250 W sans balais est à courant continu, intégré à la roue arrière. Il est intrinsèquement sûr et possède toute la protection indispensable avec un excellent circuit de gestion de la batterie.
-
La consommation est très faible. Les vélos électriques sont le moyen de transport le plus écologique et économique qui soit. Avec 300 Wh on peut rouler 30 km sans assistance ce qui représente une dépense électrique de 7.5 centimes (CHF). Même les calories dont on a besoin pour parcourir cette distance sur un vélo normal (plus de 300 Calories) coûtent plus cher et en allant 2 fois moins vite.
-
Les réglementations sont différentes d’un pays à l’autre. Les règlements suivants s’appliquent en Suisse et dans l’Union Européenne:
- Les vélos à assistance électrique jusqu’à 25km/h et un moteur de puissance nominale inférieure à 500 watts de puissance nominale en Suisse, 250 Watts dans l’UE, sont considérés bicyclettes (Cyclomoteurs légers en Suisse) non soumis à immatriculation.
- Les cyclomoteurs électriques ne dépassant pas la vitesse de 45 km/h soumis à immatriculation.
Suisse (art. 18 OETV) :
On distingue deux types de vélos électriques : les vélos électriques lents (cyclomoteurs légers) et les vélos électriques rapides (cyclomoteurs. La différence principale est la vitesse qu’ils peuvent atteindre, jusqu’à 25km/h pour les lents et 45 km/h pour les rapides.
Les vélos électriques « lents »
- Puissance du moteur : max. 500 watts
- Vitesse max de par la construction : jusqu’à 20 km/h
- Assistance au pédalage : max. 25 km/h
- Eclairage de bicyclette fixe
- Casque cycliste recommandé
- Pas d’immatriculation
- Rétroviseur recommandé
- Permis de conduire catégorie M obligatoire de 14 à 15 ans, non requis dès 16 ans
- Remorque pour enfants autorisée
Les vélos électriques « rapides »
- Puissance du moteur : max. 1000 watts
- Vitesse max de par la construction : jusqu’à 30 km/h
- Assistance au pédalage : max. 45 km/h
- Eclairage de cyclomoteur fixe
- Casque cycliste (conforme à la norme EN 1078) obligatoire
- Immatriculation obligatoire
- Rétroviseur gauche obligatoire
- Permis de conduire catégorie M obligatoire dès 14 ans
- Remorque pour enfants autorisée
-
Il y a trois recettes pour bien utiliser votre vélo électrique: une recharge diligente, une assistance modérée et un bon entretien.
Recharge diligente: il est préférable de recharger votre vélo tous les soirs. Le chargeur est un chargeur \ »Smart \ » et est conçu pour protéger la batterie contre la surcharge. Il n’y a pas de dommages à la batterie même sous le chargement de longue durée, mais par sécurité, ne chargez pas plus de 24 heures à la fois.
Assistance modérée: nos vélos électriques peuvent facilement passer des ponts et des pentes sans effort supplémentaire. Cependant, le courant du moteur est très fort dans cette condition, ce qui influence grandement la batterie. Par conséquent, si vous voulez prolonger l’utilisation de la batterie, il est bon d’ajuster le niveau d’assistance et de pédaler au démarrage et en roulant.
Bon entretien: consultez le guide d’utilisation pour l’entretien régulier (graissage de la chaine et des câbles). Protéger le vélo d’une pluie trop forte. Gardez les pneus bien gonflés (2.5 à 3 bars). Coupez le contact avec la clef de la serrure électrique.
-
Prenez contact avec nous par e-mail, par téléphone ou via le formulaire de contact. Nous ferons de notre mieux pour répondre à vos questions.